Ce n’est pas en rétablissant les vieilles méthodes façon IIIe République que nos chers petits maîtriseront la langue. Le problème dépasse largement la bonne vieille dictée culpabilisante, et les SMS à eux seuls n’expliquent pas pourquoi la jeune génération a tant de mal à rédiger sans faute.
Mais tout de même, quand je lis, dans la copie d’un bon élève, que « les Indiens souffrent de la fin » et qu’ils sont « mal-noutris », j’avoue que je sortirais bien du placard le costard de hussard noir de la République.