Une fois par semaine, c'est soirée série TV avec mes potes. Hier, j'étais toute impatiente car on se lançait dans Californication, série dont j'ai beaucoup beaucoup entendu parler. J'en avais vu presqu'un épisode en Nouvelle Zélande (25min en moyenne par épisode, j'vous rassure, j'étais bien occupée le reste du temps à visiter, j'ai pas passé mon voyage de noces devant ma TV), et ça m'avait par l'odeur alléchée.
Confirmation hier. Dès le premier épisode, trashy au possible, tu te demandes comment la série fait pour s'en sortir chez nos puritains de zamis étasuniens. Ca se saute dessus à tout va, oh des nichons, oh un pti cul (l'ami homme remarquera qu'il s'agit quasi exclusivement de parties de corps féminin, l'amie femme pourra pleurer discrètement dans son coin). Ca se drague dans les bars, finit invariablement au pieu, ca boit, ca fait plus que boire, ca vomit, ca sadomasochise, et ca dialogue sex.
Synops' : Hank Moody est romancier et séparé de la mère de sa fille de 13 ans. Il est aussi accro aux femmes et aux drogues et ne peut s'empêcher de dire la vérité, tout le temps et à tout le monde. Oui, Hank est auto-destructeur... (Merci allociné)
Bref vous l'aurez compris, un anti-héros par excellence, une ville propice à la luxure et des femmes qui ont l'air de n'attendre qu'une chose : coucher avec David Duchovny. Ca lui change clairement de son rôle de Mulder l'ahuri (attention, j'adorais X-Files, mais Davidounet, il avait toujours l'air d'attendre qu'un truc lui tombe sur le coin du museau).
Seul bémol : le générique qui aurait pu être... Plus. Vu le reste de la série :)