Pour faire face à la crise et aux déficits, les Français (et les Allemands) plaident en priorité pour une réduction des dépenses de l’Etat et des collectivités (à 60 %), loin devant l’aide aux entreprises à exporter et à être plus compétitives (32 %) et surtout la hausse des prélèvements obligatoires (8 %), selon un sondage Ifop paru dans Les Échos.
Le sondage montre aussi que 52 % des Français considèrent que leur pays a fait « peu ou pas du tout d’effort pour s’adapter à la mondialisation » (contre 41 % des Allemands).
Articles similaires :