La quatrième de couverture m'annonçait un roman exaltant que j'avais hâte de découvrir... :
"
Des montagnes du Colorado aux confins du Nord-Ouest, dans le sillage de Zebulon, ce western littéraire nous fait traverser les États-Unis jusqu'au Mexique, en
pleine révolution, en remontant le long de la côte californienne, vers San Francisco et ses mines d'or.
En chemin, Zebulon multiplie rencontres et aventures épiques qui le mêlent à de tragiques triangles amoureux, le rendent témoin et acteur de bouleversements
politiques et le font s'interroger sur des questions aussi fondamentales que la vie, l'amour, et la mort.
«Zebulon est un livre dont on voit le film en le lisant, dont on effectue le casting en le relisant, et auquel on invente une suite en dormant. Une fable hypnotique, un poème d'amour mystique. » Patti Smith
« Une aventure sauvage écrite par un musicien qui sait comment maintenir son public envoûté autour du feu de camp. Un roman moderne et subversif sur les limites de l'amour et les malaises de la vie civilisée. » Judith Thurman
« Ensorcelant. Un western comme Céline aurait pu en écrire. » Times Literary Supplement of London"
Et pourtant, je n'ai pas réussi à me passionner pour les aventures de ce Zébulon peu sympathique. Il s'agit bel et bien d'un western avec coups de feus, prostituées, règlements de compte, re-prostiuées... Je l'avoue : j'ai lâchement abandonné le pauvre Zébulon à son mauvais sort... Cela ne remet pas en cause ses qualités, mais il n'était simplement pas à mon goût.