Non pas que notre vie réelle soit si pire que cela, mais bien parce que comme tout être humain normal, on souhaite un jour atteindre notre idéal. Et c'est le chemin qui nous sépare de cette société idéale qui est déprimant. Au Québec, ce chemin semble ardu, rempli d'embuches. Les forces de l'immobilisme semblent inébranlables. C'est au moment où cette déprime tente de s'installer dans notre for intérieur qu'il est bon de se relever la tête, de se rendre compte que d'autres sociétés dans le monde arrivent à modifier rapidement et efficacement leur mode de gestion afin de rendre le chemin plus facile et surtout, plus plaisant à emprunter.--- Ian Sénéchal