C’est avec cette citation de Saint Augustin que débute le « Petit traité de vie intérieure » de Frédéric Lenoir.
La semaine dernière je passais, en coup de vent, chercher des crêpes chez madame Martine, et j’ai mis la main sur un de ses bouquins. Elle en a partout. Je lui dis « je l’emprunte quelques jours ». .. Madame Martine me répond « Non ! Non malheureux, je ne l’ai pas encore lu, en plus il y a un CD qui va avec, je ne peux pas te le préter.. c’est mon cadeau de Noël !.. » Je réponds que justement un livre de Noël, toujours pas commencé le 25 janvier, ne sera peut être jamais lu, j’ajoute que si je le lis en premier, ça change rien ?! Elle a la répartie rapide et le geste aussi « Maaaalheureux !! ça change tout au contraire! tu ne peux pas m’enlever ce livre, prend celui là.. il est super » et c’est comme ça que j’ai hérité du bouquin de Frédéric Lenoir. Je ne suis pas déçu, je ne me souviens même plus du titre de l’autre livre.
Dès les premières pages, le rythme, les mots, les idées me touchent et je plonge dans cet ouvrage avec grand plaisir. Je découvre avec intérêt les origines du stoïcisme et des tas d’autres thèmes philisophiques. Depuis Sophie’s World il a été publié de nombreux livres de banalisation de la philosophie, mais là c’est un peu plus que le classique philobook.
Ça commence comme çà :
« Exister est un fait, vivre est un art. Nous n’avons pas choisi de vivre, mais il nous faut apprendre à vivre comme on apprend à jouer du piano, à cuisiner, à sculpter le bois ou la pierre. »
A lire.. à suivre … je pense que je vais placer ici quelques extraits.