Agablou, trézéblu recorni sipavlu
Racano tagada émonku dupauvrec
Clugacha mortilo foufougne opovmec
Conardu msitenflou alacal dududu!
Fistaramarachi alpodulapoulu,
Et palsambleu cucu olàlà talobec...
crouchgnardilopari etwatwa ô bombec!
vatfairf raca poutu gnangnan dulu!
Sic, l'aborifaliga d'ormilars apoglas
Et cum rataplasi, cétacé mordulas
Fifrouni malizof alaplu grodada
Or, carniveul mulu nativo capriscan
Par lativaloglu mon salo coulissant
Cravato ficounet à la graisse de toucan!
bien sûr, j'ai hésité! A l'avant-dernier vers, j'ai pensé écrire "caralamisesse", qui apporte, ceres, un nuance, par rapport à "lativaloglu", peut-être un peu plus concret mais qui me semble vague... J'aime la précision! Pour complaire à certains, il eût fallu que je remplaçasse le e muet par une apostrophe au lieu de le laisser, comme dans la langue naturelle, spontanée, tel qu'elle existe aujourd'hui...Je n'y ai point consenti: je respecte le lecteur et tâche de lui parler dans sa langue, à lmoins de faire du mystère pour l'intriguer! Mais moi, j'avance à visage découvert: Ego, scriptor, j'écris... Et ça défrise, ce que j'écris, semble t-il!
Noter le subtil passage du concret à l'abstrait dont le climax se joue au dernier vers! Il doit s'amuser, Tramezino, pas le sandwich, l'inventeur possible du sonnet...