Encore un dommage collatéral de la réforme de la formation des maîtres. Un de plus ! Lâchés en septembre à temps plein dans les classes, sans aucune expérience, de nombreux professeurs débutants voient leur chef d’établissement refuser leur départ en formation, faute d’avoir quelqu’un pour les remplacer…
C’est le cas dans des académies comme Clermont, Lille ou Montpellier, où le rectorat n’a pas choisi de ventiler ces journées de stages sur l’année mais de les « masser » sur deux ou trois semaines. Cela entraîne de longues périodes d’absence pour les profs débutants et fait ressurgir d’autant plus les problèmes de remplacements.
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