L’Organisation mondiale de la santé est liée de manière contractuelle depuis 1959 à l’Agence internationale pour l’énergie atomique, et en raison de cela, toutes les questions élémentaires sur le désastre occasionné par Tchernobyl, notamment sur son bilan sanitaire, ont été soigneusement muselées à la face du monde. Un comble pour une organisation dont on serait en droit d’attendre une irréprochable impartialité.
Les morts de Tchernobyl : la fin du black out ? – NaturaVox : partager pour préserver.