« L’acte d’écrire peut ouvrir tant de portes », seulement l’acte d’écrire – en citant le cas des auteurs et des écrivains de Madagascar – les laisse enfermer. Heureusement qu’il y a aujourd’hui le Faribolana Sandratra ou d’autres cercles d’auteurs qui essaie de faire connaître les écrits des poètes et des écrivains. Il y a aussi des rencontres pour les enfants pour les contes et il y a bien sur les films radiophoniques. Et jeudi dernier, nous avions eu l’honneur d’avoir le troisième « Café littéraire », animé par Michèle Rakotoson sur le thème « l’écrit, entre le passé et l’avenir ».
A-t-on appris lors de ce café littéraire que beaucoup d’œuvres sur l’histoire, la faune et la flore et sur la culture du pays ne sont pas encore publiées. Parmi les auteurs, a-t-on cité par exemple Alfred Grandidier, un naturaliste français, qui avait fait l’exploration de la Grande île depuis 1865. Il a déjà publié de nombreux articles sur la géologie, la zoologie, ainsi que sur les ethnies à Madagascar. Il a aussi projeté d’éditer un projet de 30 volumes sur Madagascar.
Mais à part cela, il a été aussi évoqué l’absence ou la non application de la politique nationale du livre handicape le métier d’écrivain. C’est pourquoi Henri Rahaingoson a évoqué le fait qu’il serait temps aujourd’hui que l’on se penche sur le cas des auteurs ainsi que la promotion du livre et la protection du métier face à la nouvelle technologie. Une promotion de la lecture est plus que nécessaire afin que les jeunes et les lecteurs retournent vers la lecture, les œuvres littéraires, scientifiques…
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