A l’arrêt pendant de nombreuses semaines, le chantier de la Leadenhall Tower a repris début janvier, grâce à la création d’une co-entreprise entre le canadien Oxford Properties et le promoteur British Land.
- Leadenhall Tower – Londres par Rogers Stirk Harbour and Partners
Du haut de ses 224 mètres, la tour est l’oeuvre du cabinet d’architectes Rogers Stirk Harbour and Partners. Bien moins haute que « The Shard » de l’italien Renzo Piano (310 mètres), la Leadenhall Tower est amenée à devenir un des symboles de la capitale britannique, en s’inscrivant (un peu trop à mon goût) dans son environnement urbain essentiellement composé de gratte-ciel : «Vu de l’ouest en regardant vers la cathédrale St Paul, l’immeuble devrait donner l’impression de s’élancer dans la direction inverse du monument historique» indique Nigel Webb, directeur du développement chez British Land. «Le Leadenhall suscite déjà l’intérêt de nombreux investisseurs notamment dans les secteurs de l’assurance, la finance et le monde des affaires et nous devrions avoir terminé le bâtiment au moment où l’offre et la demande seront fortes», poursuit celui-ci.
- Leadenhall Tower – Londres
Le gratte-ciel abritera sur 47 étages, des bureaux, qui pourront profiter de la flexibilité des plateaux proposés, allant de de 1 953 m² sur les niveaux les plus bas à 558 m² pour les niveaux les plus élevés. Des commerces et des restaurants devraient également faire leur apparition au sein de la tour.
- Leadenhall Tower – Londres par Rogers Stirk Harbour and Partners