Stupéfiant:: Des Chiens Pourraient Bientôt Dépister Le Cancer de la Prostate

Publié le 31 janvier 2011 par Marie496
Des médecins et chercheurs français recourent à des chiens pour mettre au point un test performant de détection précoce du cancer de la prostate:
Si, lisez cet article que je reproduis:
Le chien serait-il plus fiable que l’homme en matière de détection du cancer ? L’animal, c’est bien connu, a des aptitudes olfactives exceptionnelles en matière de dépistage. Depuis quelque temps, une équipe de médecins et de biochimistes menée par Olivier Cussenot, professeur d’urologie oncologique à l’hôpital Tenon à Paris, a décidé d’en tirer profit. Elle recourt ainsi à un chien pour améliorer les tests biochimiques actuellement utilisés en laboratoire pour dépister l’existence du  cancer de la prostate  chez les patients.
Pour cela, le chien, un berger belge malinois, très utilisé pour détecter explosifs, stupéfiants ou personnes ensevelies dans une avalanche, est dressé à reconnaître globalement les urines de personnes atteintes du cancer de la prostate. « A Orléans, l’armée de l’air française a déjà formé un chien qui est capable de renifler le cancer de la prostate. Un deuxième est en cours de formation », indique Olivier Cussenot, à l’origine de l’initiative
 Lisez  la suite:
Source de Cette Information Etonnante 

Source:http://www.prostate.fr/

  • Âge. En Amérique du Nord, le cancer de la prostate touche surtout les hommes de plus de 65 ans. L'âge moyen au moment du diagnostic est de 70 ans, et de 80 ans au moment du décès.
  • Antécédents familiaux. Les risques sont plus élevés lorsque le père ou un frère a déjà souffert de cette maladie. On ne sait pas encore si une prédisposition héréditaire peut être responsable de certains cancers de la prostate.
  • Origine ethnique. Les hommes d'origine africaine sont plus à risque que les Caucasiens, qui sont plus à risque que les Asiatiques. On estime que les Indiens et les Chinois sont environ 50 fois moins touchés par le cancer de la prostate que les Occidentaux. Toutefois, lorsque ceux-ci migrent vers les pays où cette maladie est plus fréquente, leur risque augmente aussi. Ce qui laisse croire que des facteurs non seulement liés aux gènes, mais aussi à l’alimentation, exercent leur influence