« La vidéosurveillance est inversée. Ce n’est pas la police qui surveille la rue, mais la rue qui surveille la police. Des milliers de téléphones portables sont brandis au-dessus des têtes pour filmer les charges policières, les exactions, et pour pleurer les victimes. La foule a des yeux partout. Elle poste sur le Web des kyrielles de vidéos accusatrices pour les forces de l’ordre, elle partage les photos des manifestations sur Flickr, elle se donne rendez-vous pour les rassemblements du lendemain via Twitter. Quoi qu’il advienne dans la Tunisie de demain, les nouvelles technologies et les réseaux sociaux auront infléchi le cours de l’histoire. …/…»SUD-OUEST, 16 janvier 2011 (Jean-Denis Renard, envoyé spécial)Lire la suite Une animation créée avec l'application Brushes sur iPad.
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« La vidéosurveillance est inversée. Ce n’est pas la police qui surveille la rue, mais la rue qui surveille la police. Des milliers de téléphones portables sont brandis au-dessus des têtes pour filmer les charges policières, les exactions, et pour pleurer les victimes. La foule a des yeux partout. Elle poste sur le Web des kyrielles de vidéos accusatrices pour les forces de l’ordre, elle partage les photos des manifestations sur Flickr, elle se donne rendez-vous pour les rassemblements du lendemain via Twitter. Quoi qu’il advienne dans la Tunisie de demain, les nouvelles technologies et les réseaux sociaux auront infléchi le cours de l’histoire. …/…»SUD-OUEST, 16 janvier 2011 (Jean-Denis Renard, envoyé spécial)Lire la suite Une animation créée avec l'application Brushes sur iPad.
« La vidéosurveillance est inversée. Ce n’est pas la police qui surveille la rue, mais la rue qui surveille la police. Des milliers de téléphones portables sont brandis au-dessus des têtes pour filmer les charges policières, les exactions, et pour pleurer les victimes. La foule a des yeux partout. Elle poste sur le Web des kyrielles de vidéos accusatrices pour les forces de l’ordre, elle partage les photos des manifestations sur Flickr, elle se donne rendez-vous pour les rassemblements du lendemain via Twitter. Quoi qu’il advienne dans la Tunisie de demain, les nouvelles technologies et les réseaux sociaux auront infléchi le cours de l’histoire. …/…»SUD-OUEST, 16 janvier 2011 (Jean-Denis Renard, envoyé spécial)Lire la suite Une animation créée avec l'application Brushes sur iPad.