Magazine Culture
JANVIER
Donc L'oeil de la lune de notre Anonyme qui est sorti hier, le 27 janvier
FÉVRIER :
L’Heure des loups de Shane Stevens
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Edith Ochs
Après Au-delà du mal, le nouveau roman de Shane Stevens.
Paris, 1975. Un homme est découvert pendu à une corde à piano. Son nom : Dieter Bock, ancien capitaine de la Waffen SS. La thèse du suicide est rapidement abandonnée, et l’inspecteur Dreyfus, figure du Quai des Orfèvres, hérite de l’enquête. À son grand désespoir, celle-ci s’oriente vite vers le passé de l’ancien SS. Dreyfus a en effet perdu toute sa famille à Auschwitz, et pour rien au monde il ne souhaite affronter de nouveau le cauchemar nazi. Les pistes sont nombreuses et complexes, depuis une opération du Mossad jusqu’à l’implication de services secrets occidentaux qui auraient employé Dieter Bock après la guerre. Lorsque Dreyfus découvre que trois autres morts sont liées à son enquête, celles d’un banquier suisse, d’un industriel belge et d’un diplomate anglais, nous sommes à l’orée du premier d’une longue série de coups de théâtre. Toutes les apparences vont en effet s’avérer trompeuses et Dreyfus, en plein dilemme moral, devra venir à bout de ses démons pour assembler toutes les pièces d’un incroyable puzzle.
MARS :
Sorry de Zoran Drvenkar
Traduit de l’allemand par Corinna Gepner
Elu meilleur thriller de l’année 2010 en Allemagne
Après Seul le Silence de R.J Ellory Après Les Visages de Jesse Kellerman, La nouvelle révélation Sonatine !
Berlin. Tamara, Frauke, Kris et Wolf se sont connus au lycée. Dix ans plus tard, après une succession de petits boulots, de drames personnels, de défaites diverses et de blessures secrètes, c’est sans trop d’illusions qu’ils abordent la trentaine. Les choses vont néanmoins changer très vite quand ils ont l’idée de créer une agence nommée Sorry, dont l’objet est de s’excuser à la place des autres. Le succès est immédiat, ils aident des hommes d’affaires qui s’estiment s’être mal comportés envers un salarié, un associé ou une entreprise à alléger leurs remords en allant à leur place chercher le pardon auprès de leurs victimes. Tout va pour le mieux jusqu’au jour où un mystérieux assassin désireux de soulager sa conscience en obtenant l’absolution pour les horribles souffrances qu’il inflige décide de recourir aux services de Sorry. C’est le début d’une longue descente aux enfers pour les quatre amis. Pris dans un piège infernal et mortel, ils n’auront d’autre solution que de découvrir au plus vite l’identité et les mobiles de ce tueur qui les manipule et semble parfaitement les connaître.
miam !
AVRIL :
Je ne suis pas un serial killer de Dan Wells
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Élodie Leplat
Vous aimez l’atmosphère de Six Feet Under, la folie de Dexter, l’humour décapant de Dr House ?Essayez Je ne suis pas un serial killer…
John Wayne Cleaver est un jeune homme potentiellement dangereux. Très dangereux. Jugez-en plutôt : garçon renfermé, pour ne pas dire sociopathe, il vit au milieu des cadavres à la morgue locale, tenue par sa mère et sa tante, il a une certaine tendance à tuer les animaux et, depuis son plus jeune âge, il nourrit une véritable passion pour les tueurs en série. Ainsi, son destin semble tout tracé. Mais conscient de son cas, et pas spécialement excité à l’idée de devenir un serial killer, John a décidé d’en parler à un psy et de respecter quelques règles très précises. Ne nourrir que des pensées positives à l’égard de ses contemporains. Ne pas s’approcher des animaux. Éviter les scènes de crime. Ce dernier commandement va néanmoins devenir très difficile à suivre lorsqu’on retrouve autour de chez lui plusieurs corps atrocement mutilés. Y aurait-il plus dangereux encore que John dans cette petite ville tranquille ? Aurait-il enfin trouvé un adversaire à sa taille ?Premier volume d’une trilogie consacrée à John Wayne Cleaver, héros au charme irrésistible, Je ne suis pas un serial killer dynamite d’un humour servi très noir tous les clichés du thriller. Avec une intrigue qui surprend en permanence le lecteur, Dan Wells nous tient éveillés jusqu’au bout de la nuit, ce qui reste encore la meilleure façon d’éviter les cauchemars.
miam !!
MAI :
Avant d’aller dormir de S. J. Watson
Traduit de l’anglais par Sophie Aslanides
La révélation 2011 du thriller. Un premier roman que les amateurs du genre n’oublieront pas.
À la suite d’un accident survenu une vingtaine d’années plus tôt, Christine est aujourd’hui affectée d’un cas très rare d’amnésie : chaque matin, elle se réveille en croyant être une jeune femme célibataire ayant la vie devant elle, avant de découvrir qu’elle a en fait 47 ans et qu’elle est mariée depuis vingt ans. Son dernier espoir réside dans son nouveau médecin, Ed Nash. Celui-ci lui a conseillé de tenir un journal intime afin qu’elle puisse se souvenir de ce qui lui arrive au quotidien et ainsi reconstituer peu à peu son existence. Quand elle commence à constater de curieuses incohérences entre son journal, ce que lui dit son entourage et ses rares souvenirs, Christine est loin de se douter dans quel engrenage elle va basculer. Très vite elle va devoir remettre en question ses rares certitudes afin de faire la vérité sur son passé… et sur son présent.
miam !!!
ET J'AI GARDE LE MEILLEUR POUR LA FIN : JUIN
en gros parce qu'il le vaut bien....
Le Cimetière du diable de Anonyme
Traduit de l’anglais par Diniz Galhos
Après Le Livre sans nom et L’OEil de la lune, les nouvelles aventures du Bourbon Kid.Vous n’avez pas lu Le Livre sans nom ? Vous êtes donc encore de ce monde, et c’est tant mieux. Vous allez pouvoir assister à un spectacle sans précédent, mettant en scène Judy Garland, James Brown, Johnny Cash, les Blues Brothers, Kurt Cobain, Elvis Presley, Janis Joplin, Freddie Mercury, Michael Jackson… et le Bourbon Kid.Les héros du Livre sans nom se retrouvent cette fois dans une délicieuse petite bourgade enplein milieu du désert pour assister à un festival de musique au nom prometteur : Back from the dead. Imaginez un Dix petits nègres rock revu et corrigé par Quentin Tarantino… Vous y êtes ? C’est encore mieux !