de Balzac
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Baudelaire affirmait : «Chacun, chez Balzac, même les portières, a du génie.»
«La Maison du Chat-qui-pelote»(quel beau titre !) est une des six nouvelles parues en 1830 dans les «Scènes de la vie privée» qui débutent l’immense oeuvre «La Comédie Humaine». Elle serait inspirée par la vie d’une des soeurs de Balzac.
Les Guillaume veulent marier Virginie, leur fille aînée à Joseph Lebas, le premier commis de la petite entreprise, promis à la succession de l’affaire. Oui, mais voilà, ce Joseph là est bien amoureux, mais d’Augustine la plus jeune.
Oui, mais voilà, cette Augustine là est bien amoureuse mais de Théodore de Sommervieux, un jeune aristocrate artiste peintre.
«Il est des mésalliances d’esprit aussi bien que des mésalliances de moeurs et de rang.»prévient Madame Guillaume, la mère d’Augustine.
Cette phrase résume le thème de cette nouvelle : la lutte des classes et l’ amour comme étude des moeurs.
J’ai noté pour vous quelques répliques amusantes des personnages «balzaciens».
«Est-ce donc bien amusant de voir en peinture ce qu’on rencontre tous les jours dans notre rue !»
«Nai-je pas entendu dire ce soir à ce jeune écervelé que si l’argent était rond, c’était pour rouler ! S’il est rond pour les gens prodigues, il est plat pour les gens économes quil’empilent et l’amassent.»
Ou bien, «Un homme à talent rendra sa femme malheureuse.»
Cette courte nouvelle d’une cinquantaine de pages sera une entrée encourageante à lire Balzac.
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