Inspiré d'une analyse d'un article de Newsweek par Al Gore, publiée sur son blog
- Une moindre capacité à s'adapter, à valoriser les potentiels des territoires concernés. Ainsi, ces territoires "pauvres" pourraient l'être encore plus quelques soient les possibles avantages naturels qu'apporteraient le changement climatique.
- Une moindre évaluation économique des impacts. Les populations étant dans leur majorité particulièrement pauvres (et non assurées) la traduction économique d'une sur-mortalité serait infime.
Si une telle approche peut heurter la sensbilité de nombre d'entre nous, elle n'en reste pas moins l'approche actuellement utilisée par l'ensemble des grandes puissances mondiales. Les analyses de l'ONU, de l'OCDE, du FMI ou d'autres cercles internationaux (G20 ...) y sont malheureusement contraints par leurs composantes financières et par les lobbies économiques.