Les enquêtes de l'inspecteur Beck

Publié le 28 janvier 2011 par Tripuniforme

 Fin octobre 2010, j'avais fait un article sur mes lectures. C'est le titre qui m'avait donné envie de lire ce roman : La voiture de pompiers disparue - Le roman d'un crime  de Maj Sjöwall et Per Wahlöö. En fait, le tome 5 des 10 volumes de la collection "Le roman d'un crime". J'ai lu ce roman, et j'ai vraiment apprécié, tant l'histoire que la façon comment c'est raconté. Cela m'a donné envie de lire la série, en commençant depuis le début. Depuis j'ai lu les 4 premiers tomes.

Les auteurs s'attachent aux personnages, peu à peu on entre dans leur "vie", tout est lié, enquêtes et protagonistes - Si vous aimez les romans policiers : je vous recommande de lire cette série.

A la suite : les tomes 4 et 5 : bonne lecture.

Présentation de l'éditeur :

Maj Sjöwall et Per wahlöö, ont écrit, entre 1965 et 1975, une série de dix romans mettant en scène l'enquêteur Martin Beck et son équipe. Cette œuvre, influencée par Ed Mcbain, et qui a marqué de son empreinte la littérature policière occidentale, est republiée dans des traductions entièrement revues à partir de l'original suédois.

 
  • Le policier qui rit

Maj Sjöwall (Auteur), Per Wahlöö (Auteur)

Par une pluvieuse soirée de novembre, tous les passagers d'un autobus sont massacrés au fusil mitrailleur. Jamais la Suède n'avait connu pareille tuerie, et l'opinion publique s'affole. Parmi les neuf victimes, un flic que Beck connaissait. Que faisait-il dans ce bus, à cette heure ? D'après sa compagne, il était surchargé de travail, mais Beck sait bien, lui, qu'il était pratiquement en congé... L'identification des victimes, puis l'étude minutieuse de leur passé, apportent peu à peu des indices. Et comme souvent, derrière la façade lisse des apparences, ce sont des réalités sordides qui émergent. Adapté au cinéma par Stuart Rosenberg en 1973 sous le titre : The laughing policeman (Le flic ricanant).  
  •  La voiture de pompiers disparue
Gunvald Larsson est en train de surveiller un immeuble déshérité lorsque le bâtiment explose. Il se porte aussitôt au secours des résidents. A première vue, l'incendie paraît accidentel : il suffit d'un malheureux concours de circonstances, une substance inflammable, de l'essence. D'ailleurs l'un des habitants se serait suicidé au gaz, transformant son appartement en véritable bombe. Affaire classée. Sauf que Larsson ne l'entend pas de cette oreille ; le feu était trop violent, il s'est propagé trop vite. C'est alors, qu'une révélation stupéfiante va rendre l'affaire totalement incompréhensible.

source des résumés :

http://www.amazon.fr/