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Les paris en ligne en plein boom ? Ou non...

Publié le 27 janvier 2011 par 1erpari

Les paris en ligne en plein boom ? Ou non...

L'Arel constitue, depuis sa création, le mur des lamentations des opérateurs de jeux d'argent. Dans ce milieu, pourtant florissant, les coups de gueules ne cessent de jaillir, avec la perte d'argent d'EurosportBet qui devrait être revendu, ou encore avec les déficits de BetClic. Depuis la loi de juin 2010, rien ne va plus, mais les jeux sont-ils déjà fait ?

Le président de l'Autorité de Régularisation des Jeux en Ligne, Jean-François Vilotte tente d'éclaircir les véritables intentions de son organisme sur La Tribune. Après avoir dressé un bilan plutôt optimiste, le responsable des régularisations continue de faire la guerre aux casinos en ligne qui perdurent en France. Malgré les contraintes imposées par cette organisme, il n'en est pas moins vrai que depuis six mois les joueurs ont déposé près de 514 millions d'euros sur leur site et qu'en ce laps de temps, 2.9 millions de nouveaux inscrits ont fait leur apparition.

Seulement, même si ce business s'avère prospère, il subsiste une ombre au tableau. L'Arjel a lutter sans relâche pour bannir les sites illégaux et un net recul est aujourd'hui constatable. Toutefois, trois sites agréés semblent frauduleux et continue à brasser de l'argent aux détriments des autres opérateurs.

"Pas contents ! Pas contents !"

Le dénominateur commun de tout ce remue-ménage reste, bien entendu, la fiscalité qualifiée d'excessive engendrant la perte de profit des opérateurs. Les attaques envers l'Arjel se multiplient, ce à quoi, Jean-François Vilotte répond qu'une petite baisse était à prévoir mais que les opérateurs devraient réenvisager leur plan marketing. Le président de l'autorité souligne que les bonus pourraient être remis en cause. En effet, 122 millions d'euros de bonus (tous jeux confondus) ont été offert aux parieurs. Là encore, l'Arjel compte bien mettre son grain de sel dans cette procédure qui pourrait être la cause d'addiction. Alors, Opérateurs, cette fois-ci vous serez prévenus !


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