ce matin je me suis éveillé avec un courriel où je me trouve être traité de " vendu ". Ce qui de la part d'un ancien commercial est un paradoxe. Ce vendeur de savonnettes il a fini par glisser dessus le con! mais connaissant sa seule vertu d'être hors les clous en permanence et d'initier glissades et dérapages constants je ne pouvais douter de l'issue malheureuse...
Gommons de nos esprits cet impair perpétuel du socialisme local et quitte à être un "vendu" je sais désormais que j'ai un prix non fixé sur le marché parallèle des dissensions constantes.
Et décidement c'est une belle journée où tous les anachronismes haineux des donneurs de leçons se substituent à la météo trouble de cet hiver peu éclairé...En effet j'ai le droit comme d'autres au déchaînement de l'ami fidèle Jérôme...
Il faut quitter le marigot du médiocre et trouver un peu d'air là où ils n'ont aucun talent:
michel tabanou 2011
Mais le travail est noir!