A l'heure d'entamer ma 500ème note de blog, les deux mots qui me viennent spontanément à l'esprit sont foutrecul et barbepine.
Car oui, bordel de foutre, j'en ai ras l'oignon de vous glavioter depuis pas loin de trois piges ma purée de verbiage pédante en vous caressant les mirettes d'une délicatesse langagière de petite putasse de première littéraire au cul serré.
C'est ma 500ème note, j'en ai plus rin à carrer. Rin de rin.
Je sais même pas comment j'ai tenu. Enfin si. Comme un con. Parce qu'en fin de compte, il me rapporte quoi ce blog ? Rien. Cette foutue saloperie de blog m'a bouffé trois ans de ma vie pour peau d'zob. Trois ans à me dire « ho tiens, ça, ça ferait une bonne note de blog », « ho, il faut que je note ça », « ho, vite, il faut que je prenne des photos pour le blog », « ho, ça fait super trop longtemps que j'ai rien mis sur le blog qu'est-ce qu'ils vont penser qu'est-ce qu'ils vont dire est-ce qu'ils vont s'en aller est-ce qu'ils vont arrêter de m'aimer bon sang vite une idée une idéeuneidéeuneidée... »
Ben merde. Quel con. Quel foutu gros connard plein de merde imbu de lui-même.
C'est con à faire pleurer les dauphins pétrifiés.