Nous pourrions croire que simplement les réalisateurs de blockbusters font appel à cette manne financière. Mais, cela touche la quasi-totalité des cinéastes.
Dans le dernier Clint Eastwood – Hereafter – , de nombreuses marques se sont insérées. Je ne parlerai pas de la présence de Virgin Atlantic Air et de la mise en avant de sa business class, mais surtout de la marque BlackBerry. Nous voyions pas moins de trois 4×3 publicitaires avec Cécile de France en égérie d’une campagne fictive.
Je ne sais pas si ce visuel est passé entre les mains de leur agence, mais vu la médiocrité de cette publicité j’en doute fortement. Alors oui, en terme de positionnement avoir choisi ce film est top. Continuer à installer un discours lifestyle et pas techno à deux balles ou plonger dans la course à l’appli [car je ne sais pas si vous avez remarqué mais que ce soit iPhone (les premiers à avoir matraqué le fait d'avoir des appli), Samsung, Nokia, ... tous nous parlent d'appli : nous n'avons quasiment plus le plaisir d'avoir un discours de marque identifié et identifiable] est une bonne chose…
Mais il y avait peut-être un meilleur moyen de procéder ce ‘sponsoring’ de film, non?