“…leurs fesses ondoyantes de carnivores…”

Publié le 22 janvier 2008 par Guillaume

Puis il y avait les Argentines! A la seule mention du mot “Argentine” - et au souvenir des femmes argentines “avec leurs fesses ondoyantes de carnivores…” -, Madeleine Vionnet enfonce sa tête blanchie dans son coussin et, rêveuse, dans un moment d’inattention, elle soupire: “On a toujours dit que j’aimais trop les femmes…!”

Bruce Chatwin - Qu’est-ce que je fais là