Lady S. - Finalement

plus d'un mois pour celle-ci, mais, alors que j'avais payé la totalité de l'album au moment de la commande, on m'indique que depuis ce temps, le prix a augementé à cause du distributeur qui bla bla bla. Donc, même si j'avais déjà payé et acheté le livre, je dois payer encore parce que le prix a augmenté depuis le moment de la commande....et si la librairie n'avait pas fourré ma commande depuis le début, eh bien je n'aurais pas dû avoir à attendre et donc à payer la différence....GRRR j'enrage...je crois que je vais attendre très longtemps avant d'acheter des nouveau des bédés là-bas...ce qui me complique la vie car il n'y a pas vraiment d'autres endroits où je peux les acheter...
Bon, assez chialé! Je vais continuer de façon positive: la bédé était vraiment bonne! (ce qui compense pour toute cette histoire de merde de la part de la librairie) C'est du Van Hamme tout craché, c'est à dire un de ces petits bijoux bien ficelés, à la fois modernes, pleins de suspens, de politique, d'action, de crimes et même...d'accord, j'ose le dire, de romance.
Le seul problème est que cet album, comme pour Largo Winch, n'est que le premier des deux tomes qui composent l'épisode et, à présent que je l'ai terminé, je ne peux pas me procurer le second. Ils n'ont pas les Lady S. ni à la bilio municipale, ni à la biblio de l'université ni à la librairie. Il faudrait le commander et après ma dernière expérience, je ne crois pas que ce soit une bonne idée.
D'un autre côté, ça me donne du temps pour continuer, entre deux lectures universitaires, V for Vendetta que je n'ai toujours pas repris (malgré le fait que c'est excellent).
Je laisse donc deviner que mon prochain commentaire, si tout va bien, portera sur V for Vendetta, une fois que je l'aurai terminé. Enfin, je l'espère.

Ah oui, j'oubliais de mentionner: le seul véritable défaut de l'album, selon moi, serait le choix des couleurs. Ces couleurs trop vives vont mal avec le style réaliste d'Aymond et la gravité du scénario de Van Hamme. Il aurait plutôt fallu une palette de teintes plus sombres semblables à celle que produit Stéphane de Becker dans les Spirou et Fantasio de Tome/Janry (spécialement dans "Machine qui rêve") ou encore dans les derniers albums SODA de Tome/Gazzotti.