Avec 600 m² supplémentaires et des chambres froides dont la température varie selon le besoin spécifique des espèces, c’est un investissement important pour la filière de légumes biologiques bretons.
Quant au chou-fleur, principale production locale, il dispose désormais de deux zones de stockages spécifiques, l’une à 6-8° et l’autre à 2-4°. Ainsi, ce légume capricieux qui arrive quand bon lui semble, pourra être conservé quelques jours à bonnes températures. Pour les producteurs, c’est un outil indispensable pour mieux coller aux attentes des consommateurs et éviter des campagnes à trop faible rémunération.