Quand le balcon est terne, qu'il ne reste plus que des branchages morts, des tuteurs dénudés et de tristes pots, un seul rayon de soleil suffit à créer un jardin imaginaire sur les murs de
la maison, à la façon d'André KERTESZ.
Pour une analyse détaillée du travail de KERTESZ et de ses photographies jouant sur les ombres et les lumières, c'est ici.
Pour un second Ambiance Cover consacré à André KERTESZ, c'est ici.