Les prisonniers étrangers proviennent de 50 pays différents, notamment des Etats-Unis, la France, l'Allemagne, la Hollande, le Sénégal, la Lithuanie, le Maroc, le Canada, l'Australie et Israël. Les étrangers incarcérés le sont à 90% suite à des accusations de trafic de drogue tandis que les 10% restant sont accusés de crimes diverses comme le meurtre, vol, kidnapping ou abus sexuel.
En prison, les étrangers ont la possibilité de donner des cours de langues aux autres détenus d'origine colombienne. D'autre part, ils ne sont pas forcément coupés de leurs familles puisque les autorités carcérales colombiennes ont développé un nouveau type de service qui s'appelle "virtual visits", et qui permet aux familles éloignées de correspondre avec les détenus via des vidéoconférences.