Nouvelle épicerie en ville...

Quand une ville de moyenne importance comme Bernay voit un nouveau commerce ouvrir on peut se dire que la vie financière de ladite ville se porte bien, même si l'opposition hurle aux loups que la ville et en quasi-faillite.
On peut se dire alors que notre ville et loin de vivre certaines désertifications comme peuvent le vivre certaines petites communes de notre région proche (hélas).
Alors après il est des commerçants qui ont la bougeotte.
Qui aime s'étendre sur la ville et diversifiais leurs activités et s'est tant mieux pour nous leurs éventuels futurs clients.
Car je crois que plus un commerçant et partout plus il sait se rendre quasi indispensable et en cela s'est pour lui un bon point.
Ensuite si celui-ci joue les spéculateurs immobiliers il y gagne encore quelques peut cela va de soi.
De toute façon je me dis pourquoi un commerçant qui a une société florissante s'arrêterait là.
Il a raison (lui ou d'autres) de placer son argent dans l'immobilier et le commerce.
S'il ne sait faire que cela, pourquoi pas.
Donc voilà, étendre son nom partout et toujours bien.
Donc en quelques lignes pour la petite histoire il y a quelques années (aller, on va dires trois ans aux minimums, rire) une épicerie au nom d'un groupe national avait ouvert place de la poste.
Ils ont ainsi vivoté quelque temps (avec des prix sommes toutes plus chers (1 à 2 fois plus chers) que chez s'est concurrents alors hélas, ils furent obligés de fermer boutique.
Alors, La fermeture d'un commerce engendre des choses qui nous dépassent et donc je ne ferais pas d'analyse sur ce fait.
Ainsi, après la fermeture de cette supérette, depuis près de deux ans, la voici qui rouvre sous le nom porteur d'une seconde grande sous marque de l'alimentation nationale.
Épicerie flambant neuve, vêtue d'un blanc immaculé (rire) la voilà rouverte.
Et les habitants du quartier de la poste s'en réjouissent.
Déjà, par curiosités les gens y sont et y vont (comme pour l'inauguration des nouveaux locaux de la poste, rire).
Puis les gens y vont ensuite par besoins.
Oui, le besoin s'est fait sentir d'avoir ce genre de services là sur le quartier.
Malgré que, pour information, plus bas dans la même rue (du général de Gaulle) près de l'épicier littéraire le frère de celui-ci ouvrira lui aussi boutique (sommes toute un peux plus spécialiser, mais bon).
Alors, après deux boulangeries, une bonbonnerie voici qu'il ouvre cette épicerie.
Ah ! Pour sûr, ses clients d'alors ne sont pas dépaysés pour un sou, car ils retrouveront alors à la caisse de cette supérette du personnel des autres maisons du dis Mr expansion (rire).
Nous avons eu parfois quelques exemples de commerçants qui avais eux aussi plusieurs échoppes.
Pour ma part je n'y vois aucun problème de toute façon.
Le truc c'est qu’à trop être partout peut-ont faire une seule chose bien ?
Ce que je pourrais regretter pour le moment, je lui laisse le temps de démarrage, c'est que celui-ci n'est pas opter pour l'embauche de nouveaux employés pour tenir ce nouveau commerce et qu'il est taper dans le fond déjà acquis d'employée de sa première boutique.
Mais bon, quelques part tout le monde si retrouve en fait ce qui est le principal, j'entends par là, le propriétaire des murs (du fond) un ancien cafetier bien connue rue Thiers et celui-là (notre boulanger conseillé municipale).
Donc, quelques déductions d'impôts, quelques dégrèvements d'URSSAF et j'en passe voilà qui
attend tout nouveau patron.
Donc, oui, laissons-lui le temps de se faire une clientèle (déjà acquise), car il va s'en dire que la boulangerie renverras les clients lambda acheter sa farine son lait ou son fromage dans son commerce de proximité cela va de soi.
Photographie : "Nouvelle supérette place de la poste" par le citadin janvier 2011©®.
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