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The shows must go on

Publié le 24 janvier 2011 par Sukie

The shows must go on

Life Unexpected s’est terminé de manière scandaleuse mardi dernier. La série a pris fin au terme d’une deuxième saison un peu momolle, collectionnant des rebondissements navrant, acculant nos protagonistes dans des situations déjà vues et surexploitées. Dommage. Je m’étais attachée aux personnages, puis Lux avait fini par m’agacer. En mettant en parallèle ses péripéties avec Mr Daniels et celle d’Aria (Pretty Little Liars), j’avais l’impression de regarder la même série. Plutôt agaçant. Quoiqu’il en soit, ce Portland à l’ambiance de Dawson’s Creek va bien me manquer. Cate, Baze, Ryan, bye bye. Mais quel adieu ! Sans spoiler, les 1,8 millions de personnes qui ont suivi ce dernier épisode ont dû être aussi outrés que moi. Nous avions retrouvé soudainement Tasha durant quelques secondes, avant que le rideau ne tombe. Heureusement qu’on pourra la voir dans une autre série (voir quelques lignes plus bas). He bien, c’en est fini de cette fable adolescente attachante, mièvre, dégoulinante de bons sentiments. C’était court, mais bien suffisant. Une vrai fin. Rapide, sans équivoque. C’est déjà ça.

The shows must go on

Off the map commence mal. La créatrice de Grey’s Anatomy et Private Practice (Shonda Rhimes) signe sa série médicale de trop. Et c’est un euphémisme. Seattle, Santa Monica, maintenant “quelque part en Amérique du Sud”. Dès le premier épisode on a déjà cerné les personnages, fait des rapprochements, trouvé les névroses, on fait euuurk, on fait oooh, on a même la larme à l’oeil. On a même déjà grillé que Lily Brenner était la Meredith Grey de la jungle.  Je préfère réserver mes sanglots aux internes de Seattle Grace. Je tenterais peut-être l’épisode 2, sans conviction. Y a quand même bien d’autres choses à regarder ces jours-ci.

Par exemple The Cape. Si vous ne craignez pas les super-héros modernes, masqués, vengeurs, aux techniques de combat artificiels, vous allez aimer Vince Faraday et sa cape magique. Pas si mal pour le peu que j’ai regardé (y a que 3 épisodes pour le moment). Le mec se fait piéger dans un accident dans lequel il pseudo-meurt avec une sale réputation collée sur le dos. Pour laver son nom et sauver sa famille, il revit sous les traits de The Cape pour fiche une raclée au bad boy (Chess) qui lui a ruiné la vie, et qui soit dit en passant, essaie de corrompre toute la ville. Un début prometteur dont j’attend de voir la suite, parce que ça peut virer très bien virer au drame comme devenir une super série de fin de soirée.

Pour finir, je ne saurais trop vous conseiller Lost Girl. Série canadienne (n’écoutez pas Barney Stinson pour qui le Canada se réduit à Bryan Adams !), fantastique à la fois cheap, kitch et terriblement attachante, vous rappellera les heures de gloire de Buffy, mixée à un soupçon de True Blood. Dis comme ça… Comme évoqué plus haut, on retrouve Ksenia Solo, vu dans Life Unexpected et transformée pour l’occasion en gothique cleptomane. Elle (Kenzi) incarne avec Bo, un des duo les plus choupinous du petit écran.  Bo, succube au baiser mortel, et aspiratrice d’énergie sexuelle, qui, découvrant qu’elle doit choisir entre les bright et les dark Fe, un espèce de monde de créature extraordinaires, préférera emprunter le chemin de la liberté pour retrouver sa mère. Une saison 1 bien que décousue, tiendra jusqu’au bout grâce à ses personnages principaux, de qui l’on se solidarise rapidement. Je dois vous avouer que j’ai un gros faible pour Dyson et le fait que Bo soit tiraillé entre lui et une autre femme, me fait tourner la tête ! Une deuxième est saison est prévue pour la rentrée prochaine.

Et dès ce soir, c’est le retour de 90210 et Gossip Girl ! Hellcats et Nikita reviennent également cette semaine ! Hell Yeah !

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