N’est-ce pas sublime comme concept pour illustrer cet opéra d’un acte de Strauss?
… pour avoir capté sur pellicule le regard figé et fixe de cette Salomé dont le visage est taché de sang et les iris qui se contractent par une source de lumière saisissante.
On dirait que c’est le visage de Salomé au moment fatal du prophète Jochanaan (Jean Baptiste) où la mort se percute sur ce visage d’adolescente sauvageonne.
L’art, c’est l’expression artistique qui capte ces moments d’émotion palpable.