Certains organisateurs s'évertuent à améliorer les impacts environnementaux de leur manifestation. Il semble donc normal de construire des labels offrant des garanties aux participants et des possibilités de communication positive pour les organisateurs.
D'un côté, nous retiendrons la motivation et la bonne foi des organisateurs et d'une partie des participants. De l'autre, nous avons été particulièrement déçu (peut-être par naïveté...) par le manque de respect de (trop) nombreux participants pour les initiatives mises en place. Un coup d'oeil sur les poubelles de tri nous a particulièrement mis en colère : malgré des étiquettages voyants, précis et lisibles, de nombreux déchets étaient non triés... Pourtant un geste qui semble le niveau le plus bas à nos yeux du respect à manifester aux bénévoles, aux organisateurs et à l'environnement. Comme le dit si bien Ophélie David dans son interview (Le Globule Vert #2), on a envie de tirer des oreilles...
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Les organisateurs accentue un mouvement conscient de communciation et d'actes concrêts autour du respect de l'environnement. Mais le niveau de bon sens et de respect du quidam reste malheureusement largement en dessous des attentes. Il n'est bien sûr pas question de donner des leçons mais simplement de constater avec un peu d'amertume que des comportements que l'on pourrait considérer comme acquis au nom du bon sens, sont bien loin d'être l'appanage du sportif amateur.
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Pour conclure sur une note positive, nous avons été touchés par la sagesse des plus anciens qui ayant connu une échelle d'évolution des pratiques plus grande, sont plus sensibles à la notion de respect. Une remarque valable également pour les plus petits "athlètes" présents qui n'ont de petits que la taille et certainement pas l'esprit. Plus sensible que leurs aînés, les enfants sont certainement la source des valeurs sportives de demain.
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la Foulée Blanche