« Il faut vraiment s’attaquer au secteur qui fait commerce des faux avis de consommateurs sur internet« , a déclaré hier le secrétaire d’Etat à la Consommation Frédéric Lefebvre. L’augmentation de 25% en 2010 du commerce électronique a attiré l’oeil du gouvernement qui se dit très vigilant.
Lors d’une visite au Centre de Surveillance du Commerce Electronique (CSCE), à Morlaix, Monsieur Lefebvre a même utilisé le terme de « publicité déguisée » pour décrire ces avis. En ce sens une enquête a été ouverte et confiée à la Direction Générale de Répression des Fraudes (la DGCCRF). L’objectif est de démasquer ces sites, dont la plupart sont américains ou marocains et qui proposent « un service de publication massive de faux avis« .
Les enquêteurs admettent qu’il sera très difficile de prouver qu’un avis est faux même si cela paraît évident. En effet, dans le droit français, ce n’est pas à l’accusé d’apporter la preuve de son innocence mais bel et bien le contraire. A ce jour la DGCCRF se penche tout particulièrement sur quatre grands sites de réservation hôtelière dont elle n’a pas encore voulu citer les noms. Un premier bilan devrait être dressé à la fin du premier trimestre.
Sampleo est aujourd’hui entrain de développer une Charte éthique afin de crédibiliser son action et de prouver à l’ensemble des consommateurs l’origine parfaitement identifiable des avis de consommateurs que seront publiés. Cette charte sera signée par des professionnels et des associations pour appuyer notre action.
Une chose est sûr, la chasse aux faux avis sur le net est ouverte, et Sampleo s’apprête à devenir la solution de référence pour répondre à ce problème. Et pour les curieux, vous pouvez en apprendre plus sur nous en cliquant ici.