On désapprend le poème à mesure qu’on l’écrit.
On dilapide pour lui la langue jusqu’à l’oubli.
Reste la famine de l’amour.
(Jean-Michel Maulpois)
Illustration: Tamara Lunginovic
On désapprend le poème à mesure qu’on l’écrit.
On dilapide pour lui la langue jusqu’à l’oubli.
Reste la famine de l’amour.
(Jean-Michel Maulpois)
Illustration: Tamara Lunginovic