Qu'on me pardonne ces quelques lignes d'émotion. Vendredi 20 janvier 2011, obsèques de Jean Dutourd à
St-Germain-des-Près. Les écrivains sont comme les amoureux : un de perdu ne signifie pas qu'on en retrouvera dix. La supériorité de la littérature, c'est que le style demeure. Les lecteurs de ces
deux chefs-d'oeuvre que sont "Les Horreurs de l'amour" et "le Demi-solde" s'en réjouissent.
Quant à moi personnellement, humble pipelette prénommée Suzanne, il me reste ce petit mot me concernant, qui fut
adressé voici quelques années à mon père, et qui m'est précieux.