Le fait est que la justice, elle, ne t’a pas oublié… Et c’est tant mieux.
Trois ans de prison avec sursis et 150.000 euros d’amende pour abus de bien social et diffusion d’informations fausses ou trompeuses, voilà qui servira de leçon aux patrons véreux qui se croient tout permis… et ravira les petits actionnaires. Dont je tiens à préciser, au cas où, que je n’en suis pas.
Juste une question… de justice. Et de message envoyé aux crapules. Avec ou sans costard/cravate.