Ma révolution n'a fait de vagues,
Pourtant depuis quel changement,
Quel ménage vivifiant,
Que d'utile exclusion,
Que d'égoïsme,de fautive inattention,
Identifiés et proscris,
A jamais est une autre histoire,
Mais je connais le salut de ma vigilance,
Car sûr de ma profonde conscience,
En son sein vit la puissante démocratie du coeur,
Et sa libre assemblée,
N'ayant qu'un credo,
Loyauté et fidélité à l'amour.