Son amour limité pour les arts
En architecture, il a une prédilection pour les édifices d’inspirations latine et grecque.
En 1806 fut décrétée l’érection de la colonne Vendôme dont le bronze fut pris à l’Autriche aux canons d’Austerlitz. Elle fut inaugurée en 1810.
Napoléon se fait envoyer à Tilsitt (Pologne) 127 projets architecturaux pour l’édification du « Temple de la Gloire », dédié aux officiers et soldats de son armée. (Actuellement l’église de la Madeleine). Pour ce bâtiment Napoléon voulait les matériaux les plus solides « qui puissent durer des milliers d’années »
Il jouit réellement de la musique. Il l’aime pour elle-même et pour les sensations qu’elle lui procure. Elle calme ses nerfs, elle berce ses rêveries, elle charme sa mélancolie, elle échauffe son cœur. Peu importe qu’il chante faux ou qu’il retienne mal les paroles
Au théâtre, il n’aime pas les drames. Il prise peu la comédie. Il déteste les farces, ne supporte pas les jeux de mots, les calembours. Par contre la tragédie lui aparait grave, noble et forte sans doute par ce qu’il entend parler ses égaux : des rois, des héros, des dieux.
Dans les années 1793-94, les représentations des pièces de Racine, Molière, Corneille, et même Voltaire, furent interdites.
Il voulut apprendre à danser la valse, mais arrêta vite : la tête lui tournait. Il en avait mal au cœur.
Par contre, il aimait à se déguiser, en particulier pour les bals