Au siècle dernier (pour ne pas dire le dernier millénaire...), passait la série La quatrième dimension (The Twilight zone), diffusée initialement entre 1959 et 1964. Elle racontait des histoires étranges qui s'articulaient autour de la notion du temps et des ses bizarreries. Je vous vois venir et plisser le front en mastiquant discrètement votre crayon fraîchement taillé, essayant désespérément de calculer mon âge. Halte au feu les amis, c'est lors des rediffusions de la série à partir de 1984 (encore un coup de George Orwell) que je l'ai découverte. Non mais... Mais je m'égare. C'était l'époque de Temps X et des jumeaux intergalactiques Igor et Grishka Bogdanoff, qui nous ont depuis démontré combien la réalité dépasse la science-fiction. Tout ça pour dire que la notion de temps reste relative. Une montre la découpera en heures, minutes et autres secondes... Les anniversaires et autres fêtes sont autant de balises rassurantes et immuables et les crémouilles au Q10 ou plus en effacent les outrages parce qu'on le vaut bien.
Au siècle dernier (pour ne pas dire le dernier millénaire...), passait la série La quatrième dimension (The Twilight zone), diffusée initialement entre 1959 et 1964. Elle racontait des histoires étranges qui s'articulaient autour de la notion du temps et des ses bizarreries. Je vous vois venir et plisser le front en mastiquant discrètement votre crayon fraîchement taillé, essayant désespérément de calculer mon âge. Halte au feu les amis, c'est lors des rediffusions de la série à partir de 1984 (encore un coup de George Orwell) que je l'ai découverte. Non mais... Mais je m'égare. C'était l'époque de Temps X et des jumeaux intergalactiques Igor et Grishka Bogdanoff, qui nous ont depuis démontré combien la réalité dépasse la science-fiction. Tout ça pour dire que la notion de temps reste relative. Une montre la découpera en heures, minutes et autres secondes... Les anniversaires et autres fêtes sont autant de balises rassurantes et immuables et les crémouilles au Q10 ou plus en effacent les outrages parce qu'on le vaut bien.