Dans mon coin paumé de France, le seul souci n’est pas l’inactivité totale à l’extérieur passé 19h45 ou encore la propension de gens qui pensent que le port du jogging c’est trop le staïle.
Il y a quelque chose de plus obscur, de plus déprimant encore… Le manque de soleil, l’absence de lumière, la domination de la couleur grise dans le ciel. Alors à part me faire offrir un séjour aux Seychelles (je rappelle que je suis au chômage) (j’ai donc le temps mais pas l’argent), c’est quoi la solution ?
J’ai envie de te dire que c’est là qu’intervient la luminothéraphie !
La luminothérapie, késako ?
La luminothérapie consiste à s’exposer à une lumière blanche imitant les bienfaits de celle du soleil et ce de façon quasi quotidienne afin d’avoir sa « dose » de lumière et de vitamines qui vont avec. Il existe donc des appareils destinés à cette exposition que l’on peut disposer chez soi et des ampoules spéciales qui diffusent cette lumière dans la maison. Il est également possible de consulter son médecin traitant qui nous prescrira des séances chez un spécialiste de la luminothérapie.
Attention, les séances de luminothérapie n’ont rien à voir avec la traditionnelle machine à UV qui elle sert uniquement à produire de la mélanine et à nous faire bronzer.
Ça guérit quoi exactement cette thérapie par la lumière ?
Principalement la dépression saisonnière, due à un manque de luminosité – vous savez quand l’hiver vous n’avez qu’une envie, vous calfeutrez sous la couette et ne plus en bouger – mais pas que. La luminothérapie peut aussi traiter des affections de la peau, intervenir en cas de dépression non-saisonnière chez les personnes âgées et réguler l’horloge biologique chez les personnes qui travaillent la nuit, dans des locaux non exposés à la lumière du jour ou tout simplement en cas de décalage horaire. Et non négligeable pour nous les femmes, l’exposition à la lumière atténuerait les symptômes prémenstruels tels que les maux divers et variés et la mauvaise humeur.
Pourquoi ça marche ?
Parce que la luminothérapie nous expose à un type de lumière qui régule notre sécrétion de mélatonine, hormone responsable de nos coups de blues de l’hiver. Cela nous éviterait donc les coups de barre, le syndrome de la marmotte chaque matin, les crises de boulottage de plaques de chocolat et les refus de parties de jambes en l’air. On dit merci qui ? Merci au Dr Norman Rosenthal qui a su faire la corrélation entre dépression et lumière.
La luminothérapie en direct chez vous
Vous êtes super intéressée mais vous déplacez vous agace ; vous prendriez bien un petit shoot de sunshine où vous voulez, quand vous voulez, ; détente rime aussi pour vous avec bain de pied et manucure : alors la lampe de luminothérapie Solvital est faite pour vous. Certifiée sans émission d’UV, elle permet d’un spectre reproduisant la lumière du jour et ses effets bénéfique. Design, elle ne dénature pas votre intérieur et sait se faire discrète. Le bon plan quoi !
Sur ce, je vous laisse, j’ai une séance de soleil qui m’attends.