Prix du Quai des Orfèvres 2

Publié le 13 janvier 2011 par Tripuniforme

Crève l'écran - Prix du Quai des Orfèvres 2002

auteur : André Klopmann

Le journaliste Gino Vespa réalise à Cannes durant le festival de cinéma une série de reportages pour la chaîne General TV. Si dans la ville, l'ambiance est à la fête, il n'en est pas de même au siège parisien de la société. La mort vient de frapper un opérateur vidéo de façon singulière : l'homme s'est subitement écroulé, asphyxié. Appelé sur les lieux, le jeune commissaire Vlad Solnia reste perplexe car durant l'autopsie, le médecin légiste ne détecte rien d'anormal. Seule information : le mort venait de rendre visite à son psychiatre, le célèbre Tadeusz Borowczyk, mais il semble bien que ce genre de chose soit monnaie courante à General TV où "les huiles vont chez le psy comme on invite des voyantes à la Maison Blanche". Quelques heures plus tard, une seconde personne est retrouvée, elle aussi, morte asphyxiée. Toujours aussi perplexe, Solnia va bientôt poursuivre son enquête à Cannes car la personne qui transmettait par car-émetteur les reportages vidéo à la chaîne de télévision vient d'être poignardée dans sa chambre d'hôtel.

André Klopmann a fréquenté les festivals cinématographiques. C'est visible par la foule de détails réalistes dont il a nourri son intrigue pour promener le lecteur de façon ironique dans les coulisses de Cannes ou d'une importante chaîne de télévision. Son roman, couronné par le prix du Quai des orfèvres, est un bon divertissement dans lequel l'arme du crime restait jusqu'alors inédite. --Claude Mesplède

Quatrième de couverture

Au coeur de la rédaction grouillante d'une prestigieuse chaîne de télévision, les techniciens tombent comme des mouches. Pas d'armes, pas de produits chimiques ou biologiques, une ventilation qui fonctionne normalement. Alors quoi ? A Cannes, pendant ce temps, au Festival international du Film, on tue de manière conventionnelle. Oui, mais pourquoi ? Qui gâche la fête ? Les enquêteurs qui démêlent l'écheveau nous emmènent dans les coulisses du festival - ses soirées déjantées, ses stars que l'on reconnaît entre les lignes, ses drames cachés - et aux tréfonds d'une entreprise que les luttes de pouvoir et le choc des ego déstabilisent tranquillement. Glaçant ! L'usine à rêves s'emballe, les boutons semblent bloqués à la case "cauchemar". http://www.amazon.fr/

Le bandit n'était pas manchot - Prix du Quai des Orfèvres 2003

auteur : Jérôme Jarrige 

Présentation de l'éditeur

Rien ne va plus à Juan-les-Pins. Des femmes seules sont sauvagement assassinées selon un rituel particulièrement sanglant. Sans élément pour établir un lien entre les victimes, tout laisse croire que les meurtres sont l'œuvre d'une seule et même personne. La police dispose de très peu d'indices : pas d'effraction, pas d'empreinte, seule une trace d'ADN laissée sur les lieux du crime. Les médias se déchaînent, la juge s'impatiente et le boss met la pression sur le Commissaire Dupin. Ses hommes n'ont que 48 heures pour boucler l'affaire. La population a peur ; qui sera la prochaine victime ? Et surtout, qui détient la clé de l'énigme ? Quand l'enquête piétine, il faut faire preuve d'imagination. Faites vos jeux...

Biographie de l'auteur

Jérôme Jarrige, qui vit à Juan-les-Pins, fait évoluer son héros dans des lieux qu'il connaît bien et qu'il aime. Il nous présente un commissaire humain, attachant et particulièrement efficace.