Les quiches,
Si tu suis bien ma vie-rtuelle, tu sauras que je ne télécharge pas. Jamais. J’investis dans une valeur refuge, le DVD.
Et depuis que j’ai déménagé, j’ai aussi investi dans des boîtes à DVD. Car de même que j’ai planqué les six tomes de La Bicyclette Bleue dans ma bibliothèque, j’ai toute une collection de DVD que j’assume complètement pas du tout.
Sauf que, entre les 28 adaptations de Jane Austen que j’ai demandées à Noël, Noyelle qui m’offre Jane Eyre et son frère qui me rapporte les œuvres complètes de Gossip Girl de Chine, je n’ai plus assez de deux boîtes.
Et comme on va bientôt baptiser ce nouvel appartement avec la coloc, des yeux intrigants risquent d’aller voir de plus près mon étagère culturelle. Donc avant d’aller acheter de quoi rassasier ces gorges asséchées et acheter l’équivalent du PIB du Luxembourg en biscuits apéritif, je vais devoir planquer ces kilos de culture sous mon lit.
Ca va encore me ruiner le brushing, cette affaire.
Bon, sinon, comme je vous le disais avant Noël, North & South, ca déchire mémé. Certes, Pride & Prejudice en version Colin Firth reste notre mythe fondateur, mais mon Dieu Richard Armitage (et en plus il a les yeux bleus).
Ca me donnerait presque envie de faire un Master littérature anglaise et cinéma, tiens.