Assommée par la grisaille, le teint en berne et le moral indexé sur le temps d’ensoleillement, j’ai les cernes qui tiennent un piquet de grève juste au milieu de la figure.
Avec une mine de saison entretenue assidûment aux chocolats à la galette des rois et à cette merveilleuse lumière parisienne qui réveille si bien le teint, je ne veux surtout pas que l’on me tire le portrait.
Je préfère regarder celui que font les autres surtout quand les galeries d’images sont aussi subtiles que celles que capturent Philippe Roucou sur ses superbes carrés de soie ;Déjà fan de sa première série de « foulards-polaroïd », je suis de nouveau émerveillée devant ses somptueux foulards.Le créateur fait succomber les sceptiques avec ce deuxième échantillonage : Il démontre la dimension sublime à laquelle confine le mariage improbable du polaroid et de la soie, et fait tomber les barrières en offrant à notre cou la folle vocation de galerie d’art.Encore une fois le plus dur va être de choisir son tirage...http://www.philipperoucou.com/
Je viens tout juste de commencer un nouveau boulot ( depuis la semaine dernière) ce qui explique le manque d'assiduité par ici, mais dès la fin de la semaine j'espère reprendre un rythme normal de quelques billets par semaines... Mais aussi revenir mettre mon grain de sel sur les blogs que j'aime et que je déserte en ce moment ;)
La Souris Teigneuse ( avec valises en transit ... sous chaque oeil!)