J’ai pu parler avec le metteur en scène dans la semaine de la rentrée et aborder dans le vif le sujet de la mise en scène de mon texte : « les Voyages de Gulliver ». L’idée que l’on retient surtout c’est que, étant donné l’exiguïté des salles du collège (dans lesquelles on joue) et la pauvreté de nos moyens, on va exploiter deux échelles : le grand et le petit.
Par exemple, déposer un immense mannequin dans la plus grande des salles, et un petit mannequin type poupée dans une autre. Il servira de souffre-douleurs aux filles qui le découvrent sur la plage. Tout cela est encore sous réserve de la façon dont la collègue d’arts plastiques va envisager le travail.
Une réunion collective a eu lieu lundi midi, j’y reviens demain.