- Les médecins estimeraient que leur travail est de soigner, pas d’acheter.
- La compétence nécessaire à l’achat des services de soin se trouve chez les unités actuelles. Elles pourraient donc se reconstituer, mais sous un autre nom.
- Sera-ce la qualité ou le prix qui va dominer les décisions ?
- Chaque zone géographique mettant au point une solution qui lui est propre, ne va-t-on pas avoir une médecine à une infinité de vitesses ? (Le gouvernement, ultralibéral !, répond qu’il va durement réglementer pour éviter les divergences.)
- Certains groupes de médecins pourraient échouer, qu’arriverait-il alors aux communautés dont ils sont responsables ?...
Bribes d’une émission entendue par hasard hier (You and yours BBC 4). Une des réformes de M.Cameron consiste à supprimer, si j’ai bien compris, certaines unités parapubliques qui s’occupent des services de soin, et de confier leur travail à des groupements de médecins, qui mettraient hôpitaux et autres fournisseurs en concurrence (plus efficace ?).