Magazine Cinéma
dimanche 20 janvier 2008
Il y a toujours les long plans séquences qui caractérisent si bien Théo Angelopoulos. Mais là, par moments, les mouvements rotatifs de la caméra donnent un peu le tournis.
C'est un peu comme le film "La reconstitution", comme je ne connais pas bien l'histoire grecque, le film perd un peu de son intérêt. En plus, le film et lent, très lent et finalement ne porte pas tellement à la réflexion. Je préfère la concision d'un Kieslowski ou d'un Bresson pour le traitement d'un sujet aussi restreint.