Si l’on pensait que la situation politique de la Tunisie n’affecterait pas les opérateurs télécoms français, alors on s’est trompé car les centres d’appels où sont délocalisés les services clients de trois opérateurs français sont fermés.Voici ce qu’on peut entendre lorsqu’on tente de joindre le service client d’Orange,
SFR ou encore Numéricable : « Bonjour, en raison de la situation politique en Tunisie, votre temps d’attente sera plus long que prévu ». Cette situation difficile perdure depuis vendredi dernier chez les opérateurs téléphoniques.D’après des chiffres publiés par Bercy il y a quelques mois, ces centres d’appels délocalisés à l’étranger employaient 12 000 personnes en Tunisie, où le leader mondial Téléperformance, comptait pour le plus gros employeur privé du pays avec 4 000 personnes.Un communiqué du syndicat CFE-CGC et l’Unsa Télécoms explique que les centres d’appels ont fermé vendredi 14 janvier à cause de la grève, et les bureaux du leader Téléperformance restent encore fermés.Conclusion : les délais d’attente sont très longs voire impossible à y accéder, les opérateurs de téléphonie sont en grande difficulté et la situation d’Orange est très complexe.On note une amélioration puisque SFR a seulement sous-traité en Tunisie une partie de son service client pour les particuliers sur le mobile, Numéricable a réorienté ses appels en France, la majorité des appels chez
Bouygues sont traités en France et
Orange a demandé à ses autres prestataires de prendre le relais.
Si l’on pensait que la situation politique de la Tunisie n’affecterait pas les opérateurs télécoms français, alors on s’est trompé car les centres d’appels où sont délocalisés les services clients de trois opérateurs français sont fermés.
Voici ce qu’on peut entendre lorsqu’on tente de joindre le service client d’Orange, SFR ou encore Numéricable : « Bonjour, en raison de la situation politique en Tunisie, votre temps d’attente sera plus long que prévu ». Cette situation difficile perdure depuis vendredi dernier chez les opérateurs téléphoniques.
D’après des chiffres publiés par Bercy il y a quelques mois, ces centres d’appels délocalisés à l’étranger employaient 12 000 personnes en Tunisie, où le leader mondial Téléperformance, comptait pour le plus gros employeur privé du pays avec 4 000 personnes.
Un communiqué du syndicat CFE-CGC et l’Unsa Télécoms explique que les centres d’appels ont fermé vendredi 14 janvier à cause de la grève, et les bureaux du leader Téléperformance restent encore fermés.
Conclusion : les délais d’attente sont très longs voire impossible à y accéder, les opérateurs de téléphonie sont en grande difficulté et la situation d’Orange est très complexe.
On note une amélioration puisque SFR a seulement sous-traité en Tunisie une partie de son service client pour les particuliers sur le mobile, Numéricable a réorienté ses appels en France, la majorité des appels chez Bouygues sont traités en France et Orange a demandé à ses autres prestataires de prendre le relais.