Cette ascension a été possible car les concurrents sont devenus plus faibles à cause du retrait de nombreux sponsors ou de certains constructeurs. Il y a deux ans l’hémorragie ne faisait que commencer. "Pour moi, la F1 de 2011 est revenu 20 ans plus tôt... au début des années 90 : De petites équipes et peu de constructeurs" constate Jarno Trulli, pilote de Formule 1. Et oui, la crise est passée par là.
Entré en 2005 dans le monde très fermé de la Formule 1, avec le rachat de Jaguar Racing, Red Bull avait pour ambition de faire de la marque une référence du milieu. Cinq ans plus tard, ont peut dire que le pari est réussi. L’an dernier, Red Bull Racing a vu son pilote de 23 ans, Sebastian Vettel, devenir le plus jeune champion du monde. En 2010, le constructeur avait un budget de 149 millions d’euros, contre 197 pour Ferrari et 194 pour Mercedes.
Cette ascension a été possible car les concurrents sont devenus plus faibles à cause du retrait de nombreux sponsors ou de certains constructeurs. Il y a deux ans l’hémorragie ne faisait que commencer. "Pour moi, la F1 de 2011 est revenu 20 ans plus tôt... au début des années 90 : De petites équipes et peu de constructeurs" constate Jarno Trulli, pilote de Formule 1. Et oui, la crise est passée par là.
Cette ascension a été possible car les concurrents sont devenus plus faibles à cause du retrait de nombreux sponsors ou de certains constructeurs. Il y a deux ans l’hémorragie ne faisait que commencer. "Pour moi, la F1 de 2011 est revenu 20 ans plus tôt... au début des années 90 : De petites équipes et peu de constructeurs" constate Jarno Trulli, pilote de Formule 1. Et oui, la crise est passée par là.