Quand on observe le désastre, on se dit que l'argent dilapidé au 104 ou à la Gaîté-Lyrique aurait de bien meilleurs usages. Et la circonstance que l'Etat ne soit pas exempt de reproches n'exonère en rien la responsabilité municipale. Et nous n'oublions pas le "Pigeon aux petits pois" de Picasso, toujours envolé d'une fenêtre dudit Palais, le vol le plus important commis en France depuis des décennies !
Paris, poubelle ville du monde : la suite du reportage exclusif et terrifiant du Delanopolis !
Publié le 17 janvier 2011 par Delanopolis
Cette semaine, le Delanopolis en aura autant après l'Etat qu'après la Ville. Un de nos lecteurs s'est désespéré depuis longtemps devant le triste spectacle du Palais de Tokyo, un des plus beaux bâtiments Art Déco de Paris, honteusement négligé par ses deux parents !
Ce superbe édifice, décoré de sculptures d'Alfred Janniot et Bourdelle ainsi que de ferronneries de Subes, appartient pour moitié à la ville de Paris et pour moitié à l'Etat, la ville étant au surplus en charge du nettoyage de ses abords et des voies publiques qui y mènent, comme pour la plupart des immeubles parisiens.
Quand on observe le désastre, on se dit que l'argent dilapidé au 104 ou à la Gaîté-Lyrique aurait de bien meilleurs usages. Et la circonstance que l'Etat ne soit pas exempt de reproches n'exonère en rien la responsabilité municipale. Et nous n'oublions pas le "Pigeon aux petits pois" de Picasso, toujours envolé d'une fenêtre dudit Palais, le vol le plus important commis en France depuis des décennies !
Quand on observe le désastre, on se dit que l'argent dilapidé au 104 ou à la Gaîté-Lyrique aurait de bien meilleurs usages. Et la circonstance que l'Etat ne soit pas exempt de reproches n'exonère en rien la responsabilité municipale. Et nous n'oublions pas le "Pigeon aux petits pois" de Picasso, toujours envolé d'une fenêtre dudit Palais, le vol le plus important commis en France depuis des décennies !