Ceux qui me suivent un tout petit peu savent qu'en janvier, je suis peu dispo : entre mon boulot et les cérémonies de voeux auxquelles je dois assister, je suis un peu charrette !
Mais je ne vais pas me plaindre, tant ce genre d'exercice permet d'observer nos contemporains. Ainsi, l'autre soir, alors que le maire d'une petite commune terminait son discours et que tout le monde lorgnait déjà sur le buffet, nous fûmes 3 ou 4 à être interloqués en entendant :
"Je vous saute une bonne damnée !".
Evidemment, il avait dit :"Je vous souhaite une bonne année". Comme quoi les accents régionaux peuvent prêter à confusion. Moi, dans ce cas là, je ne prête à personne, c'est le plus simple !!!
(Photo : Gilles Lussier)