Ce n’est sans doute pas une musique que j’aurais spontanément écoutée. Pas mes repères. Et puis, je me suis laissé accrocher l’oreille par une première chanson. A la première écoute, I’m in love m’a retenu. Puis, ce fut Flétta, où une voix féminine s’est ajoutée à celle, que je trouvais envoûtante, d’Antony Hegarty. C’était celle de Björk. Piano insistant. Quelques notes qui semblaient juste posées. On aurait soufflé dessus, elles se seraient envolées. Mais non, bien sûr, elles étaient clouées là comme des étoiles dans le ciel de ma tête. Et puis, il y a eu Christina’s farm que j’ai écoutée en boucle et sans me lasser pendant près d’une heure. J’ai cherché les paroles : c’est une chanson de Noël ! Alors j’ai réécouté tout le disque.