Je vole au dessus
des arbres chargés de neigeet la bise cingle ma tête.J’ouvre mon bec cornuet craille à tue-tête mon bonheur d’avoir à manger.Je vois des points colorésbougeant et évitant les épinettes serrées,ce sont ces hommes qui me nourrissent malgré euxde leurs rebuts.
La CorneilleLo x